

Un jour férié essaie de tuer la journée, pensé-je, la plupart du temps ainsi calmé.
Noyer le poisson demande de l'eau, disent-ils.
Énoncé que l'on trouvera aussi bien dans Férié que dans Le huitième jourqui, plutôt qu'une postface au sens strict du terme, est une variation sur le texte de David Lespiau. (...)
C'est un livre flottant et fuyant, énigmatique; selon son propre titre, quelque chose en lui s'est fiché, jusqu'à bouleverser, presque paisiblement, la suite d'une journée donnée. Par E.L (mars 2012)