

Cécile Mainardi est au Negresco avec deux hommes. L'un est nettement brun, l'autre châtain gris. Ils boivent tous les trois un cosmopolitan (vodka, Cointreau, citron et jus de cranberry).
(Nice, le 7 juin, 0 h 20)
Cécile Mainardi entraîne son lecteur dans une recherche amoureuse - à Rome - de la blondeur sous toutes ses formes. Un enchantement verbal. Un événement poétique.
Cécile Mainardi, entre travelling et plan fixe, une écriture décente de l'indécence de vivre, où l'on suivrait un désir ouvert devant soi.