Articles récents

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Rencontre avec Philippe Chibani-Jacquot et Virginie Pérocheau

Jeudi 26 mars à 18 h 30
Le Relais vous invite à rencontrer Philippe Chibani-Jacquot, auteur de S'il suffisait de traverser la rue... Le relais,  25 ans d'économie solidaire, illustré par les photographies de Virginie Pérocheau, pour une séance de signatures et le vernissage des photographies du livre. La soirée se poursuivra autour d'un cocktail qui sera l'occasion d'échanges et discussions autour de la thématique de l'économie sociale et solidaire, et de l'histoire du Relais.

Lecture avec Bernard Collin

Jeudi 26 mars à 19 h
La librairie l'arbre du Voyageur accueillera Bernard Collin le temps d'une soirée, pour une lecture de son œuvre.

Dédicace avec Olivier Piot

lundi 16 mars à 19 h
Venez rencontrer Olivier Piot à l'occasion de la sortie de son nouveau livre Kurdes: Les damnés de la guerre, qui sortira en librairie le 12 mars prochain. En présence de William Bourdon, avocat et préfacier du livre.

Lecture en musique avec Sabine Macher et Léo Brunet

Samedi 7 mars à 20 h
Une soirée poétique avec Sabine Macher, auteure de Guerre et paix sans je et Léo Brunet au luth, dans l’atelier de l’artiste Marie-José Pillet pour partager ensemble la nécessité impérative de la poésie.

Robert Habeck au Goethe-institut

Jeudi 27 février 2020 à 19h
À l'occasion de la sortie du livre Du langage en politique, ce que les mots font à la démocratie, Robert Habeck et Michel Wieviorka échangeront sur le rôle du langage dans nos démocraties contemporaines et sur la nécessité d'un discours politique ouvert, condition pour définir "qui nous voulons être". Rendez-vous au Goethe-institut de Paris pour les écouter et débattre avec eux.

Rencontre avec Christophe Fiat et Jil Caplan

Vendredi 14 février à 19 h
Rendez-vous au JN. Mellor Club pour une lecture en avant première du livre de Tea Time, qui sortira en librairie le 5 mars prochain. Un duo de Jil Caplan et Christophe Fiat, racontant, à travers les yeux d’une femme, tout un monde en ébullition qui s’agite. À l’heure du thé défilent les convulsions de notre époque dans une rhapsodie délicate et cruelle: « Je ne fais pas dans la dentelle. »